4.2.3. Système dynamique actif
Fig. 9de - passez le curseur sur l’image Vidéo
- Légende des Fig. 9d et 9e
- 🚨ATTENTION !
- Les flèches sur la Fig. 9d orientées à l’opposé par rapport à la Fig. 9e et dessinées dans une couleur plus pâle indiquent un léger mouvement de préparation au mouvement de préparation du son. Cela peut être même seulement une intention, sans aucun mouvement visible.
- R1 - résistance de la masse du piano perceptible par le doigt au fond de la touche
- R2 - poussée de la masse du corps du pianiste sur l’AM
- inclinaison de la tête vers l’arrière**
- pression opposante du tronc***
- micro-impulsion depuis l’épaule (vers l’avant)
- ouverture du bras au niveau du coude
- soulèvement du poignet
- mouvement de la main au poignet rappelant l’enroulement du papier- > - - X1 - - < - avant l’attaque X1 est plus court (Fig. 9d)
- < - - X2 - - > - au moment de l’attaque l’AM s’allonge (Fig. 9e)
** L’inclinaison de la tête vers l’arrière peut être moindre ou plus grande, mais doit toujours être énergique et élastique avec un redressement proportionné du dos - ensemble, ils renforcent les impulsions venant de l’épaule ainsi que les mouvements de projection des bras. Le relâchement de la nuque est ici essentiel (3.3). Chez de nombreux pianistes, le mouvement d’inclinaison de la tête est nettement visible (4.2.3.2), mais chez d’autres il peut être très discret.
*** L’inclinaison du tronc provient d’une flexion aux hanches et exige un appui stable des pieds (ou au moins d’un d’eux). On peut toutefois obtenir l’effet d’écartement entre R1 et R2 aussi avec une posture redressée, sans s’approcher du clavier (comme chez p. ex. A.Rubinstein) - la pression du tronc sur le clavier est alors transmise discrètement par les bras. Une légère inclinaison est cependant souvent utile, surtout au début de l’apprentissage.