Appelées également vibrations verticales ou impulsions motrices*. Ce terme correspond à une alternance entre le placement de l’appareil moteur sur le clavier et son retrait - voir Pont et grue de Neuhaus. La fréquence de ce mouvement est très rapide, mais les vibrations verticales parcourues du bras sont extrêmement petites.
*Czesław Sielużycki - “La main du pianiste” p. 261 et 305-306, Édition Polonaise de Musique, Cracovie 1982
Bien évidemment, il ne suffit pas de seulement “secouer l’épaule” pour jouer correctement. Ce serait même plutôt le contraire: c’est un jeu correct qui induit l’impression de secousse du bras lors de l’exécution de certaines formules techniques bien définies. Ces secousses peuvent, tout au plus, être délicatement stimulées notamment par des exercices de staccato ou en effectuant une gymnastique sans utilisation du piano (cf. exercice n° 2).
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